On croit souvent que la souveraineté, c’est la maîtrise.
La clarté.
La posture droite.
La femme qui “sait”.
Mais la vraie souveraineté… c’est pas une image.
C’est pas un mood “aligné 24/7”.
C’est un feu intérieur, qui continue de brûler même quand tu doutes, même quand tu pleures, même quand t’as plus envie.
La femme souveraine ne brille pas tous les jours.
Parfois, elle est en bordel.
Elle craque.
Elle dit « je ne sais pas ».
Elle se sent paumée, vidée, contradictoire.
Mais elle ne se quitte pas.
C’est ça, sa puissance.
Exemple concret :
Un jour, une cliente m’a dit :
“Je sens que je recule dans mon chemin… Je suis débordée, je ne médite plus, je suis irritable… je ne me reconnais plus.”
Je lui ai répondu :
“Et si ce n’était pas un recul, mais une traversée ?
Et si ta souveraineté, là, maintenant, c’était de ne pas t’abandonner pendant ce vrac ?”
Parce qu’être souveraine, ce n’est pas rayonner en permanence.
C’est être présente à soi, même dans le chaos.
C’est ne pas utiliser le développement personnel contre soi.
Tu peux être souveraine…
… même quand tu doutes.
… même quand tu ressens tout trop fort.
… même quand tu veux tout arrêter.
Parce que ta vérité ne se mesure pas à ton état.
Elle se mesure à ta capacité à te rester fidèle, même quand tu te perds.




